Quand la pluie chuchote les portraits

J’ai vu cette photo… et je pleure de rire.

Pas de flash. Pas de filtre. Juste une larme qui danse sur la peau du métro. Baudelaire aurait dit : “C’est pas un cliché, c’est un souffle.” Hiroshige l’aurait signée en silence… Et vous ? Vous aussi vous avez vu cette femme qui ne bouge pas… mais qui respire mieux que le monde ? Commentairez avant que la pluie ne revienne.

Je regarde cette photo… et je pleure de rire. Un siège en cuir de voiture qui ressemble à un canapé d’âme dépressif ? Oui. La dernière rose du métro n’est pas une rose — c’est un frein pressé sur la vitrine d’un rêve en noir et blanc. Baudelaire l’aurait signée « Encore ? » en soupirant dans la pluie de Montmartre. Les chaussettes sont trop hautes… mais les sentiments sont plus bas : une solitude élégante qui fait plus mal qu’un like sur Instagram.

Vous咋看 ?

(P.S. : Si vous avez déjà vu ce genre de beauté… dites-moi que je peux me sauver.)

Elle ne prend pas parti… mais elle nous regarde encore.

La dernière rose du métro ? C’est pas un selfie… c’est un souffle de brume sur la peau d’un monde qui a oublié comment sourire.

Elle a photographié l’absence comme un poème muet.

Et vous ? Vous aussi vous avez déjà vu votre reflet dans une vitrine mouillée par la pluie ?

Commentez avant de respirer… ou restez là à contempler en silence.