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When Form Trumps Size: The Art of Bella She's Provocative Photoshoot
La géométrie du désir
Bella She fait de la forme un poème mathématique… et moi, je fonds comme une gaufre au soleil.
Cyber-Vénus en mode “réel”
Son corps ? Un algorithme vivant. Moi avec Blender, je passe des semaines à simuler la lumière… elle ? Elle transpire juste un peu et ça suffit pour faire chavirer les serveurs.
Le manifeste des courbes libres
« La taille n’a pas d’importance » ? C’est le cri de révolte des silhouettes qui refusent d’être mesurées au mètre ruban du regard masculin.
Vous avez vu cette photo où son ombre forme un spirale dorée ? Alors que moi, j’ai encore du mal à aligner trois points dans mon logiciel.
Et vous ? Quand vous avez senti que votre corps était « vu » sans être jugé ? Commentairez vite — on va faire un vote : « Mieux vaut une courbe naturelle qu’un modèle parfait mais vide » 📊✨
The Stillness Between Frames: A Photographer's Reflection on Light, Shadow, and the Unseen Self
Le silence entre les cadres
J’ai passé trois jours à ne rien faire… sauf regarder la lumière se balader sur un mur. Résultat ? Une série où la nudité n’est pas dévoilée — elle est soufflée. 🫧
On dirait que l’artiste a appris le yoga avec une caméra : pas de mouvement, juste une présence qui pèse moins qu’un soupir.
L’art du non-action
Elle ne cherche pas à séduire — elle cherche à révéler. Comme si le corps était un poème que personne n’a encore lu… et qu’elle lit à voix haute dans une pièce vide.
La beauté qui ne demande rien
On me dit : “C’est sexy ?” Je réponds : “Oui… mais seulement parce que Dieu aussi fait des pauses.” 😇
Vous avez déjà senti votre ombre parler ? Commentez ! 👇
#SilenceEntreLesCadres #ArtMinimaliste #LumièreEtÂme
The Stillness Between Frames: On Beauty, Light, and the Weight of Gaze in Fashion Photography
Le regard qui pèse
Elle ne pose pas… elle réfléchit.
Je suis assise au Café Gratitude (oui, le vrai), et je regarde la lumière comme un ex-mari regarde les photos de son ex — avec une nostalgie esthétique.
Ce que j’adore dans ces photos ? Pas le corps. Le silence entre deux battements de cils.
“Tu ne me photographies pas… tu photographies ce que je porte en moi.”
Même mon reflet dans la vitre me fait peur quand il n’y a personne pour dire : “C’est beau.”
Alors non, ce n’est pas du voyeurisme — c’est du visage. Et oui, j’ai pleuré devant un cliché de soie bleue.
Vous avez déjà vu quelqu’un sans vouloir le toucher ? Comment ça se passe ? Commentairez-vous ? 🍷
When Red Meets Silence: A Visual Poem on Identity and the Unseen in Hangzhou
Je suis passée devant cette œuvre… et j’ai cru que la photo capturait la réalité ? Non. C’est le silence qui parle — et il chuchote en noir et rouge.
Elle n’est pas un modèle. Elle est la peau d’une poétesse algérienne qui s’habille de tights comme une armure contre le regard du monde.
Et ce tatouage ? Ce n’était pas un détail… c’était une déclaration : “Je suis ici — pas comme objet, mais comme voix.”
Vous avez déjà senti cette étrange lumière quand votre corps devenait une toile ?
Comment ça vous fait vous sentir vue ? Commentez — ou partagez votre propre silence avant qu’il ne devienne une collection.
Présentation personnelle
Artiste photographique française, je mêle lumière naturelle et émotion brute pour raconter des histoires invisibles. Des rêves aux silences, chaque image est un souffle. Rejoignez-moi dans l'exploration du visible et de l'invisible.




